Ca se passe comment le 6 avril 2024 au VILLAGE DU SOIR?

De 11h à 20h on vous attend au Village du soir à coté de la PRAILLE et du stade de la Servette pour venir déguster les meilleurs producteurs Suisse dans une ambiance jeune et décontractée. Laissez vous charmer les Fondues by LE REFUGE, des burgers, des grandes tablées, music live, des vignerons souriants, des bons vins et de la bonne humeur.

Connaisseurs ? vous allez découvrir les nouvelles cuvées sorties en 2021de vos vignerons Suisse en primeurs !

Épicuriens? Vous gouttez, vous pouvez acheter les bouteilles à l’unité, en cartons ou commandées à prix Domaine !

Néophytes ? Et bien c’est un marché avec des grands vignerons mais « à la cool ». L’occasion de faire votre palais, découvrir les produits du terroir et apprendre les subtilités du vin en toute simplicité.

Après 21h, débouchez une bonne bouteille et en avant pour le bal des vignerons!!!

Village du soir route des jeunes 24 1227 CAROUGE (GENEVE SWITZERLAND)

Entrée 15.- CHF BUY TICKET / ACHETEZ MON TICKET

enfants, femmes enceintes gratuits 🙂

Les Vignerons :

 

C’est la presse qui en Parle mieux ! Jerome Estèbe – La Tribune de Genève

Vroum! Le bar à vin sur quatre roues stoppe à Genève

Fines gueulesUne trentenaire pimpante installée à Genève. Une camionnette «pimpée» prête à étancher la soif des œnophiles. Présentations

Claire Mallet devant son wine-trotter. Un bar à vin ambulant, qu’elle garnit et pilote depuis février dernier.

Claire Mallet devant son wine-trotter. Un bar à vin ambulant, qu’elle garnit et pilote depuis février dernier.Image: DR

Mais reprenons depuis le début. «Cela fait des années que je vends du vin», raconte cette Française installée à Genève, qui travaille en parallèle pour un importateur de la place. «Je me suis aperçue que l’organisation d’événements était souvent casse-pieds. Il faut louer des frigos, une tente, garder les bouteilles à bonne température, transporter les caisses… D’où l’idée d’un camion aménagé à cet effet. Les marchands de vin ambulants existent depuis la Rome antique; j’ai simplement remis le métier au goût du jour.»

Vendanges à la Romanée-Conti

Notez que la demoiselle, 30 petits printemps, n’est pas née de la dernière averse vineuse. Elle a de la bouteille: un master en vins à l’Université de Bordeaux, une solide expérience commerciale chez Paul Jaboulet en Côtes-du-Rhône et Faiveley à Nuits-Saint-Georges. Entre autres. Sacrées références. Ajoutez à ça des vendanges annuelles dans un domaine à la réputation cosmique: la Romanée-Conti. «J’ai simplement envoyé un mail. Ils m’ont prise. J’y ramasse donc du raisin chaque année: c’est absolument magique!»

Rien ne prédestinait pourtant notre œno-camionneuse à embrasser le monde du vin. Née à Besançon, elle grandit sur les bords du Léman, dans une famille de médecins peu portés sur la dive bouteille. «Mais j’ai un oncle et des grands parents qui savaient apprécier les bons crus.» Le déclic se fait à Sydney. Elle a 19 ans. Elle travaille au Hilton pour payer ses études. «On m’a dit: «Vous êtes Française, vous devez connaître les vins et champagnes.» Je me suis retrouvée affectée au bar des stars.» Coup de foudre. Ou de fût. Claire plonge dans la cuve.

Quand naît le projet du wine-trotter, c’est un «vieux Citroën TUB» qu’elle cherche. Un garagiste l’oriente sur la Renault Estafette, plus «féminine, maniable et solide». Copains et connaissances l’aident à pimper l’engin. Il sera rouge et blanc, équipé d’un bar et de frigos pouvant garder des centaines de bouteilles au frais. Comment ça marche? «On loue 500 francs le camion. Puis, au-delà de 100 personnes, je demande 15 fr. par tête en proposant champagne, blanc, rosé, rouge.» A discrétion? «Oui, les gens boivent avec parcimonie.» Hum… on ignorait que le soiffard fût une espèce en voie d’extinction.

Un camion, pas un palace

Tout ça ne nous dit pas le type de vin qu’aime et propose Claire. «C’est difficile à dire. C’est très large. Je travaille avec des vignerons suisses, français et italiens. Disons qu’il s’agit de vins en bouteilles, que l’on ne trouve pas forcément partout. Pas des étiquettes luxueuses. C’est une camionnette, pas le salon d’un palace. On reste relax. J’essaie de trouver des crus abordables et conviviaux. En ce moment, j’ai un coup de cœur pour les merlots tessinois.»

C’est la presse qui en parle mieux ! (chacun son métier :-) by SWISS WINE

Le marché du vin, deuxième saison! Revoilà le très chouette rendez-vous bacchique imaginé et concocté par notre wine-trotteuse genevoise, la caviste nomade, la précieuse oenocamioneuse, Claire Mallet.

C’est au Village du Soir que ça se passe, le weekened prochain. La dame nous promet une cascadede bons producteurs locaux, En chair et en os. Mais aussi de la fondue, des baggles, des burgers fumants, des crêpes sucrées, des tables où se poser et des DJ pour danser.

Nouveautés, le prix d’entrée est divisé par deux par rapport à l’an passé. Et un bal des vignerons aura lieu à l’issue de la dégustation.

Amateur ou néophyte, on pourra goûter, certes, et à la bonne franquette, mais aussi repartir avec un carton ou une bouteille sous le bras.

L’affiche aligne une trentaine de producteurs genevo-valdo-valaiso-tessinois, parmi lesquels: Novelle, Stéphane Gros, Sophie Dugerdil, Les Hutins, Stéphane Dupraz. On vous en passe et des meilleures.

cropped-20180324141157_IMG_2306-01.jpeg

C’est la Presse qui en parle le mieux ! Tribune de Genève 2017 by Thierry Mertenat

On a dégusté durant l’après-midi de samedi. On a dansé sur les musiques des années 90 jusque tard dans la nuit, avant de repartir pour un tour de dégustation, ce dimanche, de 11h à 18h. Tout cela, sans changer d’adresse, le 24, route des Jeunes, juste après le stade de la Praille où Servette et Xamax ont fait match nul à la mi-temps du week-end.

Le Village du Soir, c’est lui forcément, vous attend donc en mode diurne à l’occasion de son premier Marché du vin programmé sur deux jours. Samedi, le compteur manuel de l’agent de sécurité taille XXL a enregistré plus de 500 entrées. De quoi réjouir Claire Mallet, la wine-camionneuse désormais bien connue, à l’origine et à l’arrivée de la manifestation.

Réveil à 6h pour elle et son équipe de bénévoles. Notamment des porteurs désignés qui amènent jusqu’à la voiture votre carton de six ou douze bouteilles. Il fait chaud, on transpire vite, après avoir bu en crachant (c’est mieux et ça fait amateur éclairé). Car le casting vigneron est à la hauteur du rendez-vous. Près de 30 caves et domaines représentés, majoritairement genevois, mais aussi vaudois et valaisans.

«J’ai proposé aux inscrits de venir avec leur propre matériel, histoire de casser un peu la décoration formatée des traditionnels salons. Ici, les stands sont biscornus, alternent les grands et les petits, de telle sorte que l’on chemine dans un joyeux bric-à-brac. Un vigneron a choisi de venir avec ses transats. J’ai trouvé que c’était une bonne idée», résume Claire, sollicitée de toutes parts.

On paie 30 francs en arrivant et l’on touche un carnet de dégustation que l’on fait tamponner chez chaque vigneron. On ne tarde pas à faire de vraies découvertes dont on taira le nom pour ne fâcher personne. Tout en se disant que ces Caves ouvertes délocalisées, installées sur une place de village unique, permettent de gagner du temps, du plaisir et du savoir en bouche, le tout sans se presser. La première portion de raclette est offerte. La tentation est d’en commander une deuxième en s’éloignant définitivement du crachoir. Thierry Mertenat

Marché du vin by Thibault D (52).jpegVoir l’article et les photos!